Dans l'auberge

sembalnt soulager de voir la Corgollite partir il remit ses main sur la table et commenda a l'aubergiste une nouvelle chope

*parlant tout bas a l'aubergiste*
- Enfin cette femme est parti
*augmentant le ton de sa voix*
- ohh et votre meilleur vin!!!

Il tendit quelques pièce a celui-ci prenant ensuite une bonne gorgée de se vin. Il regarda a nouveau dehors pour voir par où partait cette Corgollite mais celle-ci semblais deja être disparu dans un léger brouillard qui commencais a apparaitre

Lumatrius ne pu que sourire aux dires de la Corgolitte. Il eut juste le temps de lui répondre;

- Je vous ferai quérir une missive lorsque mes hommes auront mit la main dessus. Sachez tout de même que nous ne les garderons pas indéfiniment, j'ose espéré que le grand conseil votera en faveur de l'exécution, je n’aimerais pas avoir a libéré une pareil racaille dans la nature.

Après avoir ecouté ce que Lumatrius avais dit morgan Chuchota d'un ton a paine perceptible

-Cest de la faute de cest corgollites que cette bestiolle étais ici.... J'en fait mon affaire.

Morgan Sortire Dousement de l'Auberge Essayant de sassuré que personne ramarque qu'Il partais puis mit la main sur le manche de sa fiedelle épée qui étais pour le moin presque toute émousé

Elzéar c'etait maintenant reculé de quelque pas et c'etait assis a une table. Il regardait Lumatrius tenté de glisser quelque dernier mot a cette Corgollite.

-Bien bizarre cette dame n'est-ce pas Tribun, si des gens agirait ainsi dans les citoyens Hastanes l'armée ne voudrait pas recupérer ces prisonniers et leur faire payer le prix comme bon leur semble ?

Il attendait un réponse de la part du Tribun avec un air songeur

Se retournant vers le légionnaire qui attendait pour sa commande

m'ha? t'avion affaire a baduk.
Remercian le forgeron et prit son paquetage pour laisser place eu légionnaire

Avertissiasse moé pour al mace!

puis se dirigea vers les légionnaires près de la porte

Mouap ej voudrion savouére els grand c'que cétion que ce bebite la dewor?
y'avion danger pour al ville kardar?
Faudrion savoir j'avertirions la guarde si cétion pôs déjô fate j'en étion moi méme une ercru.
souriant fièrement

Il se tourna vers l'Hastane et lui dit;

-Ce peuple est vraiment trop étrange, aucune comparaison à faire avec vous et moi. Ils n'ont pas les mêmes notions de justice que nous, il faudra sens méfier. J'avertirai la garde de surveiller les environs, une quelconque alliance commercial entre c'est deux peuple pourrait nous être en tout point défavorable.

Les deux Légionnaires surveillant l’entré, fessait la vérification de leurs armes. Il souhaitait profiter de la présence du Kardar pour remettre à neuf la moindre imperfection.

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Cette créature, comme vous dite Kardar, habite sur une île non loin d'ici, depuis un certain temps ils violent les traités fait avec les autres pays et semble vouloir augmenter la superficie de leurs territoires. Il y a même plusieurs terre révoquer non loin de la Foret Daëlwena. Prévenez votre garde et vos diplomates du danger qui pèse sur vos mines, la prévoyance n'a jamais tué personne.

Le légionnaire qui se tenait maintenant face Baduk Dégaina une longue lame en acier formant une croix. Il l’a regarda une dernière fois puis il lui tendu.

-La lame de mon défunt n’ait plus ce qu’elle était, j’ai bien peur qu’elle soit émoussée. Pourriez-vous me l’évalué et m’indiquer le pris d’une remise a neuf

Elzear afficha un mince sourire

- C'est bien ce que je croyait, mais bon tout semble bien allez pour l'armé en ce moment !

Il salua le Tribun de la tête et retourna s'asseoir pres de l'aubergiste afin de conitnuer ca discussion avec elle

aquièce de la tête

Mouap j'alliasse voére sô tout suite moé lô.

a prochainne vous autre

il sortie de l'auberge pour retourner a la ville de son peuple

Arthur se retourna vers le Tribun et le salut d'un signe respectueux et il prit parole :

-Salutation à vous tribun, desoler de vous écouter ainsi mais j'ai cru comprendre que vous aviez des ennuis avec quelques sombres créatures. J'en ait malheureusemnet rencontré quelqu'uns et combattu pour prendre la fuite...

Il lui pointa la cicatrice qu'il avait sur son avant bras gauche

-Si vous souhaitez de mon aide sachez que je suis tous à fait apte à joindre les rangs de la légion si ce n'est que temporairement pour vous aider à cette quête...

Il attendait une réponse du Tribun

*Juste avant que Rhadex ne franchisse la porte Baduk lui lance a la volée par dessus les bruits environnants*

R'passe me voèr d,écitte une heure a serions prête pi de belle facture mon ami.

*Tournant la tête rapidement face au légionnaire,il dut lever la tête a en avoir mal au cou tellement il étais de stature imposante, et se râclant la gorge il s adressa a lui en ces mots s efforcant de bien articuler ses mots pour être bien compris de l'homme.

Ben l'bonjour Messire,y semblerions que votre lame ait connue de meilleurs jours.J'pourrions ben y donner un air de jeunesse mais me faudrions ben quec'heures pour y arriver pi une belle bourse pour ma peine.

Si c'étions a vot'conv'nance je m y attèlerions de suite sur la forge d' arriére de l'auberge.

Il sourit puis passa proche de s'étouffer, il porta ensuite sa main sur son flanc semblant meurtri puis retourna la tête vers Baduk.

- Le prix n'est pas un problème, cette lame est souvenir et mon moyen de survie. Mon père n'aimerait pas me voir avec une lame en un si pitoyable état. Fixer le prix et dite moi quand elle sera prête, quel soit parfaite !

Il lui tendit la lame avant de se mettre à tousser. De son coter le Tribun venait de diriger son attention sur Arthur. Il lui dit d'un ton autoritaire;

-En effet vous m'avez l'air capable, dirigez vous vers un centre de recrutement quand vous serez prêt, la légion n'a jamais un homme de trop, surtout avec les temps qui court

Pour 300 pièces d'or Messire même vot'père en seriasse jaloux de s'être défait d'une si bonne lame,lorsqu'a l'aurions croisé mon marteau j'vous l assurions.

*Claquant d une traite le reste de sa chope de bière,Baduk prit congé du légionnaire en le saluant et en se dirigeant d'un pas alerte vers l arriere de l auberge ou une mansarde délabrée faisait office de forge.

Mais peu lui importais l'état du bâtiment tant que la forge et l enclume lui donnait satisfaction.Avivant les braises a grands renforts du soufflet il se mit au travail,chauffant adroitement le métal qui sous l effet du brasier devint d une couleur rouge vermeil.

L'oeil exercé du forgeron lui permettais de juger du moment idéal pour frapper le métal sans déformer l'arme ni en altérer la dureté une fois refroidie.

Chaques fois il souriait au souvenir de son maitre lui disant maintes et maintes fois : tout est dans la couleur ,tout est dans la couleur.Le métal est comme une jouvencelle c est lorsqu'il rougit qu'il est prêt a tes avances.*

*Cherchant autour de lui un bac d'eau pour la trempe de la lame et n en trouvant pas,Baduk aperçu le Hastane qui le regardais travailler ,portant une vieille lame a la main*

Dis moé l'grand plutot que de me lorgner la bouche ouvarte trouvions moé donc in bac d eau ben fraiche que j y durcissions c'te lame et si t'étions assez d adon pour t'occuper du soufflet je pourrions ben rendre in air de jeunesse a c'te misère qui te sarvions de lame.

Dans son état a deviasse fère plus de vent que de dommages.

Le jeux Hastane sourit au dire du Kardar, puis regardas au tours de lui, il vit un bac d'eau a coté de l'Auberge et alla le cherché apres avoir deposé le bac d'Eau devant il baduk, il mit la main sur son épaul qui lui fessait encore tres mal et dit

-J'accepte votre offre, voila déja le bac d'Eau

Puis il a la se placé ou le souflait se préparant a le faire fonctionné et dit :

-Vous me diré quand faire fonctionné le Souflait.

C'tions ben simple mon jeune suffisions que té gestes étiassent lents et réguliers pour que la crévindieux de braise gardiasse une température égale en toué'temps, je me chargions du reste craint pâ.

Passions moé ta lame pi lancions toé su'l soufflet ,mais oublie pas:lent pi régulier dans ton mouv'ment.

*Dès la prise de possession de la lame il se mit a l oeuvre surveillant le Histane du coin de l oeil pour voir si tout se faisais selon son dire et mormonnant de temps a autre avec un large sourire:*

Toutte étions dans couleur,toutte étions dans couleur.

Un rugissement étrange se fit dans la foret non loin de la ou Baduk fessait aller son marteau. Le son semblait venir de partout à la fois sans pour autant venir précisément de quelque part. Le tribun détourna son attention vers l’étrange hurlement, mais le bruit ambiant lui fit croire que ses oreilles lui jouaient des tours. Les bruits semblaient se rapprocher de la petite cabane qui fessait office de forge

*Après quelques chauffes et martelages suivis de refroidissements rapides dans le bac d'eau Baduk entreprit l aiguisage de la dite lame avec une pierre enduite d'huile l affûtant d'un geste rendu sûr par l'expérience.

Quand le résultat lui plut il demanda au Histane de le laisser seul quelques moments pour terminer le travail lui signifiant qu'il voulait garder le secret de son art.Le Histane s 'exécuta non sans avoir l air interrogateur.

Dès qu il fut sorti de la misérable mansarde il entreprit une dernière chauffe tout en surveillant la couleur mais aussi la droiture du fil de la lame et a la dernière minute il refroidit la lame non dans le bac mais en enduisant la lame d une huile qu il avais dans sa besace ce qui avais pour but de durcir considérablement la lame comparé a l eau seule et de garder le taillant plus longtemps.

Sitôt terminée il sortit a l extérieur pour tendre la lame au Histane l'enjoignant d'y prendre garde tellement son fil étais tranchant.*

Avec câ mon ami tu ferions plusse qu'épluchiasse dé légumes tu verrions ben*pouffant d'un rire bien gras*,tu saurions m'le dire si in jour tu m'ercroèse.

*sur ces mots il reprit le chemin de l auberge tenant soigneusement la lame du légionnaire de laquelle il avait pris le plus grand soin.

*se levant sur la pointe des pieds il tapotta l 'épaule du légionnaire qui lui faisais dos*

Messire,voélâ vot' lame j'en aviasse pris le plus grand soin ,a coupiasse plus qu'le rasoèr du coèffeur d'ché nous.*lui tendis la lame avec fierté satisfait de son travail*

*la mansarde emplie des bruits de son travail et assourdit par son martelage Baduk n avais rien entendu du bruit extérieur*

Arthur qui était satisfait d'entendre de la part du tribun qu'il peut s'enroler dans la légion se dériga vers un centre de recrutement mais il s'arreta net devant le seuil de la porte et entendit lui de même des hurlements sinistres... Cela semblait le terroriser quelque peu et semblait déja à quoi s'attendre, il posa une main sur le pomeau de son épée sans toute fois le dégainer....

-On est jamais trop prudent, pensa-t'il

Un homme de très grande taille pénétra dans l'auberge. On pouvait le décrire comme un tas de muscle embulant qui ne cachait rien de la force qu'il pouvait avoir.

Armé de sa grosse bardiche et son armure de plaque rouge, il hâletais. Il tenta du mieux qu'il pouvais de reprendre son souffle.

Puis d'une forte de voix s'exclama:

Ils sont là! Ils nous encercle!!


Derrière lui, on pouvait voir des reptiles rouge s'approcher lentement.

Radhex était revenue quelque temps apprès sont départ pour venire chercher sa mace. Il c'était diriger directement a la forge quand baduk finissait son travaille. N'ayant pas entendut les cries il ne se doutait de rien en approchant de l'hastane armer, il demanda:

qu'aviasse-t-il el grand? quess tu f'siasse armer? El Baduk étiasse la?