L'atmosphère étouffante de cette nuit lugubre vous fait suffoquer. Vous ne savez pas ou regarder, votre regard se pose alors sur le feu qui crépite devant vous. Vous êtes assemblés autour du feu en compagnie de plusieurs personne de différente génération. Lorsque le silence prit de l'ampleur et que les respirations furent palpable, un vielle homme débuta un récit :
« La pluie n'avais pas cessé de s'abattre sur les landes depuis plusieurs lunes, notre convois voyageait déjà depuis l'aube et la noirceur commençait a recouvrir les cieux. Notre troupe était constituer de deux valeureux chevaliers en tête, suivit de la caravane des marchant, de deux autres chevalier dont l'un n'étais nul autre que moi, ensuite venait la caravane de vivre et celle de matérielle et le convois était clos par quatre autres chevaliers. Nous avancions péniblement sur la route boueuse lorsqu'un arbre s'abattit violemment devant notre groupe. Il obstruait complètement la route devant nous. L'arrêt brusque du convois surpris ma monture qui prise de panique me fit durement tombé au sol.
Je m'étais a peine remit sur mes pieds lorsque je les aperçut. Une dizaine d'énorme mastodonte verdâtre fonçaient sur nous tête baissé. Les sanguinaire Gorlaks prenaient d'assaut notre convois. Je les observaient foncé sur nous. J'étais incapable de me mouvoir. J'observais ses bêtes verte nous charger lorsque mon regard s'accrocha sur l'un deux. Il possédait une carrure coupé a la hache, les muscle d'un seul de ses bras équivalais la circonférence de mes hanches. Son regard hargneux possédait une caractéristique que ses semblables n'avaient pas. Je l'observait droit dans les yeux alors qu'il fonçait sur nous a une vitesse ahurissante. C'est alors que j'ai pue déterminé ce qu'il possédait, cette caractéristique unique qu'il avait. Ce Gorlak respirait le combat, sont être dégageait une expérience et une assurance incroyable. Alors même que je le fixait, son regard balayait notre convois. Il observait ses ennemies, évaluait la situation, puis hurlait ses ordres dans une langue qui m'est inconnue.
Ma main tremblante se dirigeait lentement vers le pommeau de mon épée. J'observais toujours se terrifiant Gorlak lorsque sont nom fut hurlé par l'un de mes coéquipiers. Gruktak, cela ne pouvait être que lui. Ce monstre de Gruktak était connue sur toutes les landes comme le plus redoutable brigand qu'est porter cette planète. Les Gorlaks qui l'accompagnaient avaient probablement tous été formé par lui. C'était connu, ce machiavélique brigand formaient les jeunes de son peuple. Il leurs montraient a tuer, il leurs apprenaient un langages secret et pour finir, il les initiaient lui même en les accompagnant à leur premier brigandage.
Du plus profond de mon être je souhaitais hardiment qu'ils fussent tous des débutants. Nous prenant par surprise, une volée de flèches s'abattit sur nous, j'eus a peine le temps de placé mon pavois devant moi, qu'une flèche le fit résonné. Ma lame était maintenant entre mes doigts. J'écartai mon pavois qui me voilait le visage, pour m'apercevoir qu'ils étaient rendu sur nous. Une vibration monstre résonna dans tout mon corps lorsque Gruktak martela brutalement mon bouclier. Propulsé par la force de l'impacte, mon corps heurta la caravane des marchants avant de choir au sol.
L'envie de combattre était plus grande que la douleur qui envahissait mon être. J'utilisai alors toute la force de mes membres pour me relever. Un rapide regard me fit parer un faible coup venant d'un Gorlak qui ne verra plus le jour. Je repoussai son coup vers la droit et j'utilisai la brèche ainsi créer pour lui porter un coup mortelle à la gorge. Son sang se mélangea à la pluie qui recouvrait tout son corps. Il tituba légèrement, ses yeux s'écarquillèrent et dans un bruit sourd, amoindrit par les sons environnant, il tomba au sol.
Son attention capté par la mort d'un de ses protégés Gruktak se dirigea directement sur moi. Une hargne hors du commun émanait de son être, mon sang se glaça lorsque son regard croisa le mien.
Il leva son énorme massue dans l'espoir de l'abattre sur mon pavois. Il connaissait parfaitement sa force monstrueuse, il la savait suffisante pour m'arracher du sol en un seul coup. Ne venait-il pas précédemment de le faire? Je lut dans ses yeux son intention, je fonçai alors droit sur lui. Lorsqu'il envoya son coup, je plongeai vers le sol en relâchant l'emprise que j'avais sur mon bouclier afin de m'en débarrasser. Je passai à un cheveux de me faire brisé la nuque, mais ma tactique fonctionna. J'effectuai une roulade vers l'avant pour passer derrière lui.
J'étais maintenant au sol, face au ciel. Le dos de mon adversaire me surplombait. Je refermai alors mes deux main sur le pommeau de ma lame et je l'enfonçai de tout mes forces dans son dos. Il hurla sa colère en laissant retomber sa massue, avant de se laisser lui même tomber face contre terre. Je me relevai péniblement pour l'observer. Son corps embourbé dans la boue jusqu'au tiers. Je le laissai la pour mort, et j'observai l'état du convois.
Un chevalier se tenait encore debout, deux autre étaient toujours sur leur monture, je portai alors mon regard vers le bois, c'est alors que je vue une demi dizaine de forme s'éloigner dans les bois. Leurs entraîneur au sol, leurs courage flancha et ils prirent lâchement la fuite.
Notre convois reprit alors la route après avoir récupérer les corps de ceux qui était vaillamment tombé au combat. Nous avons laissé les corps des Gorlaks sur place de peurs de voir une autre meutes nous attaquer. J'observai leurs corps un dernière fois alors que nous nous éloignions, je crue alors voir celui de Gruktak remuer. Mes vieux yeux devaient me faire défaut. C'était décidé, ce contrat était le dernier.»
Vous échangez alors un regard perplexe avec les autres personnes présente lorsque l'homme reprit :
«Que les sceptiques soit pendu car, seul la vérité est sortie de ma bouche.»